Etape 2 : Les Sables-Horta-Les Sables
Voilà un petit retour sur une course qui n’était absolument pas au programme :
Mardi 4 juillet – 18h00 : coup de téléphone de l’équipe de Next Generation Sailing 
: le skipper Lennart Burke Sailing s’est blessé sur la 
ère étape, ils cherchent en urgence un co-skipper pour la 
ème étape des Les Sables-Horta-Les Sables 
20h00 les billets sont réservés. 
Vendredi 7 matin, 24 heures avant le départ : j’arrive à Horta où je découvre Melwinfinkracing que je n’avais jamais rencontré auparavant. Il me présente le bateau – que je ne connais pas non plus – un pogo s4 qui est donc un bateau nouvelle génération. Le temps de faire l’avitaillement 
, d’assister au briefing de la direction de course 
et d’étudier un peu la météo 
, il est déjà temps de rejoindre la ligne de départ. 
, d’assister au briefing de la direction de course et d’étudier un peu la météo , il est déjà temps de rejoindre la ligne de départ. Départ qui – et ça devient un peu une habitude – est parfaitement réussi puisque nous sortons d’Horta bon derniers 
. Voilà au moins une marge de progrès bien identifiée… 
. Voilà au moins une marge de progrès bien identifiée… Les premières 24 heures vont s’avérer plutôt tranquilles dans des petits airs 
, conditions parfaites pour faire un peu plus connaissance avec Melwin et le bateau. Le vent est monté ensuite crescendo pour s’établir autour des 
noeuds au portant un peu lofé, des conditions bien sportives entre grand spi et spi medium 
. Humidité omniprésente avec un bateau qui mouille beaucoup 
et qui nous offre régulièrement des plantés assez impressionnants. Ça me vaudra d’ailleurs une grosse chute (dos sur un renfort) heureusement sans conséquence autre que quelques contusions 
. Nous n’aurons pu enlever nos bottes mouillées 
que le jour de l’arrivée et il aura fallu attendre le mardi et un passage sous gennaker pour lâcher un peu la barre et ne plus être trempés en permanence. 
, conditions parfaites pour faire un peu plus connaissance avec Melwin et le bateau. Le vent est monté ensuite crescendo pour s’établir autour des noeuds au portant un peu lofé, des conditions bien sportives entre grand spi et spi medium . Humidité omniprésente avec un bateau qui mouille beaucoup et qui nous offre régulièrement des plantés assez impressionnants. Ça me vaudra d’ailleurs une grosse chute (dos sur un renfort) heureusement sans conséquence autre que quelques contusions . Nous n’aurons pu enlever nos bottes mouillées que le jour de l’arrivée et il aura fallu attendre le mardi et un passage sous gennaker pour lâcher un peu la barre et ne plus être trempés en permanence. Accusant tout de même un léger déficit de vitesse sur nos allures un peu lofées, nous avons décidé de glisser un peu plus bas que nos concurrents ce qui nous a permis de bien défendre notre position jusqu’à la redescente vers la Bretagne où l’on savait que notre bateau serait performant. 
Nous nous sommes alors offerts une balade touristique express en mode empannages rapprochés des îles bretonnes (et vendéennes) : Ouessant, Sein et son raz, les Glénans, Belle-Ile, Yeu. 
A chaque empannage le long des côtes, nous mesurions les gains réalisés petit à petit sur nos concurrents 
jusqu’à cette très belle 
ème place venue récompenser une belle course et particulièrement les dernières 24 heures très intenses. 
jusqu’à cette très belle ème place venue récompenser une belle course et particulièrement les dernières 24 heures très intenses. Au bilan, je suis très très satisfaite de cette virée improvisée avec Melwin, notre binôme a très bien fonctionné et j’ai découvert un très bon et très sympathique marin ! 
Cela m’a permis de prendre mes marques en vue de la Transat Jacques Vabre (qui va arriver très vite), de voir que je pouvais tenir le rythme des premiers et même venir les challenger. 
Le bateau est toujours en construction, il sera bientôt ponté. 
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